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05/10/2023
En ces temps où certains espèrent encore faire échouer la déviation, nous rappelons à Mme la première ministre Elizabeth Borne et à Mr Clément BEAUNE, Ministre délégué, les engagements du président Emmanuel Macron. Retrouvez nos courriers dans la section Communication.
05/10/2023
2 nouvelles vidéos : un exemple des bouchons subis par les habitants de la Vallée et l'interview de Mr Vigier sur France3.
05/10/2023
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Pétition OUI À L’AUTOROUTE A154 (mesopinions.com)


LES CANDIDATS SE SONT FAIT CONNAITRE

Le processus est bien en cours, après la réception des candidatures et le comité de pilotage début juillet qui a réuni les financeurs (état, département, agglomérations) et les décideurs (élus, assemblées, etc.).
Plusieurs candidats ont manifesté leur intérêt pour la réalisation du projet, et nous nous en réjouissons.
C’est maintenant le tour du comité de suivi qui siègera le 23 septembre prochain, et nous y participerons comme prévu.
Nous aurons sans doute des informations récentes sur le déroulement de la procédure d’appel d’offres, que nous ne manquerons pas de vous communiquer.
Tout cela en attendant notre prochaine assemblée générale qui se tiendra le jeudi 13 octobre 2022 à 20h30 à OSCAR, avenue du pré de l’église à Saint Rémy sur Avre.
Une convocation parviendra aux adhérents, mais elle sera ouverte à tous afin de prouver aux décideurs que nous sommes toujours mobilisés pour que le projet se concrétise le plus rapidement possible.
Et comme toujours, la newsletter vous parviendra autant de fois que nécessaire.

L’appel d’Offres est lancé

 

La mise en ligne de l’appel d’offres a été effectuée le 28 janvier dernier. Vous trouverez ici la page des marchés publics de l'état ; La date limite de réception des offres est fixée au 02 juin 2022. Ce délai est particulièrement court pour ce type de dossier, ce qui est de bon augure.

Les opposants ont maintenant peu de chances de stopper le projet, tous les recours ayant été déboutés.

Nous attendons maintenant le 2 juin, qui lancera l'ultime étape préparatoire du projet : l'analyse et le choix du concessionnaire. Etant donné la complexité du dossier, nous pensons qu'il ne faut pas s'attendre à une réponse avant la fin de cette année.

Actualités

 

Le Collectif espère que vous vous portez aussi bien qu’il est possible de l’être en ce moment. Beaucoup de sujets sont bien sûr en pause mais la CoVid-19 ne nous a pas fait oublier un autre grand chantier, également important pour notre santé à tous ! En outre, ce chantier participerait activement au plan de relance tout en ne consommant que très peu de deniers publics de l'État.

Retrouvez ainsi notre courrier au ministre délégué Jean-Baptiste Djebbari, ainsi que l'extrait de journal consacré à celui de nos élus et la réponse du ministre.

la LOI d'ORIENTATION des MOBILITÉS a été promulguée

 

La loi n°2019-1428 du 24 décembre 2019 d'orientation des mobilités a été promulguée au Journal Officiel le 26 décembre 2019. En suivant le lien vous accèderez au texte dans son intégralité. Le 5e paragraphe (exposé des motifs) reprend le détail des projets et cite l'A154.

Extrait :

Au-delà des grands projets ferroviaires, plusieurs grands projets routiers seront menés.

Quatre projets avec mise à péage qui ont fait l’objet d’une déclaration d’utilité publique, seront engagés d’ici 5 ans : le contournement Est de Rouen (création d’une autoroute en tracé neuf entre les autoroutes A28 et A13 contournant l’agglomération rouennaise), l’A154 entre Allaines et Nonancourt (mise à 2x2 voies des RN154 et 12), la liaison Toulouse-Castres (création d’une liaison autoroutière entre Verfeuil et Castres) et la Route Centre Europe Atlantique (RCEA) en Allier (achèvement de la mise à 2x2 voies dans le cadre d’une concession autoroutière).

LE DOSSIER AVANCE

 

Les engagements de l'Etat permettront de s'assurer que les mesures environnementales, notamment, seront bien intégrées dans l'appel d'offre de concession. Les contrôles de conformité s'étaleront sur tout le chantier et jusqu'à 5 ans après la mise en service.

Le concessionnaire sera choisi en fonction de ces critères et des mesures de politique tarifaire (abonnements ou autres tarifs préférentiels pour les trajets fréquents).

Ce document prouve que le dossier avance toujours, même de manière non visible. Il est plus que probable que le collectif DEVIER SAINT REMY fera partie du  futur comité de suivi de ces engagements.

Comme vous pouvez le voir dans les derniers articles parus sur le sujets, les derniers recours possibles contre le projet ont été rejetés par le Conseil d'État.

Vous trouverez également un article sur les débats parlementaires qui ont eu lieu à propos des concessions autoroutières.
Vous pourrez retrouver également nos courriers envoyés aux officiels dans la colonne des News, à gauche.

ST REMY SERA DEVIEE

 

Le 5 juillet 2018 restera une date majeure dans l’histoire de Saint-Rémy-sur-Avre.

En effet, c’est le jour de la parution au Journal Officiel de la République de la DÉCLARATION D’UTILITÉ PUBLIQUE du projet A154.

Après analyse par le Conseil d’état du compte rendu de l’enquête publique clôturée le 10 janvier 2017, le Premier Ministre Edouard PHILIPPE, le Ministre d’état en charge de l’environnement Nicolas HULOT et la Ministre des transports Elisabeth BORNE ont ensemble signé le décret de déclaration d’utilité publique (DUP).

Cela veut dire que les nuisances supportées par les riverains et usagers de la double nationale 12/154 ont justifié cette décision, que leurs doléances ont été entendues, comme précédemment par les membres du Conseil d’Orientation des Infrastructures et les élus de toutes tendances, que le bon sens a triomphé, mettant enfin un point d’arrêt à cette situation intolérable que nous dénonçons depuis près de 10 ans.

Après les comptages routiers, les mesures de pollution et la visite sur le terrain du COI en début d’année 2018, à la suite de laquelle le président de ce conseil avait déclaré « qu’il fallait mettre fin à une situation qui n’avait que trop duré», la décision tant attendue a été prise le 4 juillet pour une inscription au JO le 5 juillet.

Il était temps car la date limite de cette DUP était le 9 juillet, soit 18 mois au maximum après la clôture de l’enquête publique. Cette date butoir nous avait inquiétés et nous avions adressé en juin des courriers aux élus et aux ministres afin de leur rappeler cette limite. Nous avions alors reçu des soutiens de grands élus qui nous assuraient avoir transmis nos inquiétudes aux intéressés en les accompagnant de courriers sans ambiguïtés.

Malgré tous ces signes encourageants, nous guettions chaque jour cette décision qui nous récompenserait de tous nos efforts et qui soulagerait toute une population. Depuis 9 ans, les membres du bureau du collectif, soutenus par les adhérents, n’ont pas ménagé leur peine pour être de toutes les réunions, débats ou manifestations sur site ou à Chartres, voire à Orléans au siège de la DREAL qui gère le dossier pour le compte de l’état.

Maintenant, c’est un autre combat qui se profile, qui consistera à exercer des pressions afin que le contournement de notre vallée soit effectué en priorité, puis à s’assurer que tous les engagements pris seront respectés, tant pour le traitement des nuisances sonores et visuelles que pour la mise en place d’une tarification adaptée, car nous avons toujours souhaité que les nuisances que nous supportions ne soient pas simplement déplacées vers nos voisins.

Vous trouverez ci-dessous le lien direct pour le Journal Officiel :

Journal Officiel du 5 juillet 2018

Nous vous en souhaitons une bonne lecture.

LE C.O.I. A RENDU SON RAPPORT

 

Le C.O.I. a remis le 1er février son rapport à la ministre des transports Élisabeth BORNE. Vous pouvez consulter ici la page 103 qui traite du projet A154 ou la synthèse du rapport ici.
Le discours de la ministre à la suite de ce rapport est consultable ici.
Enfin, les articles de presse de l'ECHO sont dans notre rubrique presse. 

 

LE PRÉSIDENT DE LA COMMISSION VEUT FAIRE AVANCER CE VIEUX PROJET

  En raison des Assises nationales de la mobilité, qui se sont déroulées de septembre à mi- décembre 2017, le dossier a peu avancé.
Ces assises avaient pour objectif de formuler des propositions concrètes permettant d’améliorer la mobilité des personnes au quotidien. Cette grande consultation s'est adressée à tous les acteurs du territoire pour permettre de préparer la loi d'orientation des mobilités, présentée au premier semestre 2018.
Un Conseil d'orientation des infrastructures composé de parlementaires et d'experts a été mis en place sous la présidence de Philippe Duron (ancien président de la Commission Mobilité 21).
Le Conseil d’Orientation des Infrastructures (C.O.I.) a publié un rapport d’étape à mi-parcours de son travail (consultable sur son site Internet ).
Le C.O.I. remettra, fin janvier 2018, un rapport de propositions soutenables financièrement pour une planification à 15-20 ans des investissements de l’Etat en matière de transport et de mobilité.

Pendant ce temps, tous les grands projets d’infrastructures (routiers, fluviaux, ferroviaires) sont gelés.

Cependant, la DREAL a continué à travailler sur les deux réserves émises par les commissaires enquêteurs.
Dans ce contexte, le bureau du collectif Dévier Saint-Rémy a écrit à N. Hulot, Ministre de l’Ecologie, E. Borne, Ministre des transports et à chacun des membres du C.O.I. (19 personnes) pour les sensibiliser sur la situation de notre commune et l’absolue nécessité de la dévier. Nous avons reçu des réponses nous indiquant que la situation de Saint Rémy est bien identifiée et que les préconisations du C.O.I. seront dévoilées fin janvier.
Nous avons également participé à un atelier organisé par le député de Chartres.
Mardi 16 janvier, les membres du C.O.I. accompagnés des députés et sénateurs du département, du Préfet de région et de la Préfète d’Eure-et-Loir sont venus sur le terrain et ont effectué le trajet Dreux-La Madeleine de Nonancourt en autocar. Compte tenu du trafic, ils ont pu constater que la déviation était une urgence absolue reconnue par tous les acteurs du dossier, y compris les opposants à l’autoroute.
Lors de la conférence de presse tenue avant la visite, le président du C.O.I., Philippe Duron a parlé « d’un projet très ancien qui doit avancer. On doit en avoir une vue globale d’Orléans à Rouen. Je suis allé à la rencontre des gens du port de Rouen qui expriment la nécessité d’un axe qui concerne aussi la nationale 12 et qui fait le lien entre les céréaliers de la Beauce et les ports ».
Dans une conjoncture économique difficile, la participation financière de l’état à ce projet est raisonnable puisqu’elle est limitée à 30 millions d’euros. « Les grandes infrastructures, ce sont des lignes de TGV à 8 milliards d’euros. Le projet de l’A154 ne peut pas être qualifié de méga projet » indique Philippe Duron.
Sans préjuger de la décision finale, ces arguments sont plutôt en faveur du projet. La date butoir pour une prise de décision du gouvernement reste fixée au 10 juillet 2018.

 

Comité de suivi du 07/07/2017 - Préfecture

  Il s'agissait de donner les conclusions de l’enquête que nous connaissons déjà.

Il y a donc eu un avis favorable assorti de 2 réserves (étudier la possibilité de faire une sortie au rond-point des Anglais et étudier la faisabilité de passer par l'ouest de Chartres). Les réserves n'imposent pas la réalisation, mais obligent seulement à réétudier les possibilités de manière plus approfondie.

La DREAL planche donc depuis sur les impacts de ces réserves dans tous les domaines (environnement, mais aussi économique, sociétal, financier, etc.). Ce résultat ne sera pas soumis à une nouvelle procédure d'agrément, mais seulement joint au dossier pour le Conseil d'Etat.

Trois points étaient soumis à cette enquête :
1) utilité publique : avis favorable avec 2 réserves,
2) mise en conformité des documents d'urbanisme (modification des PLU, POS) : avis favorable,
3) classement de la voirie en autoroute : avis favorable.

2 514 avis recensés dont 1 669 par voie électronique dont l'impact a été minoré car certains avis ont été répétés jusqu'à 30 fois ! C’est, au dire des spécialistes, assez peu comparé à des projets analogues.

Avant l'envoi au conseil d'état, la DREAL doit donc étudier les deux réserves et faire adopter par les collectivités la modification des documents d'urbanisme. Le conseil d'état doit se prononcer obligatoirement avant le 10 juillet 2018, soit 18 mois après la clôture de l’enquête. Le dossier sera transmis à l'automne après un nouveau comité de suivi.

Après la présentation, la parole est donnée à la salle : plusieurs personnes s’expriment, notamment les écologistes, qui partent du principe qu’en 2040, il n'y aura plus de véhicules à essence ou diesel ! Donc, est-ce nécessaire de faire une autoroute pour si peu de temps ?

Des élus parlent au nom des collectivités qui réagissent en rappelant que les maires sont presque unanimement d’accord avec le projet et que les associations ne sont pas leurs représentants.

Un élu précise le nombre d'emplois créés sur la zone d'Arthenay (1 200) en réponse à une mise en doute de l'impact économique du passage d'une autoroute sur la région traversée. Un autre demande si l'on peut chiffrer le don en nature de la RN154 actuelle en 4 voies pour valoriser un tarif préférentiel pour les Euréliens.

Le collectif est intervenu en fin de séance pour déclarer que même si les véhicules électriques sont de plus en plus nombreux, nous n’avons pas connaissance de poids lourds fonctionnant à l'électricité et que de toute manière, cela ne concernerait que le parc français, alors que le trafic international le plus polluant est étranger.  

Le ferroutage, souvent invoqué comme solution alternative, ne pourra se faire qu'au prix d’investissements beaucoup plus lourds que cette autoroute et dans un délai inconnu.

Les représentants de la DREAL ne connaissant pas exactement le nombre de véhicules traversant Saint- Rémy ; nous l’avons annoncé en signalant qu'il ne baissait pas, mais que les poids lourds remplaçaient les véhicules légers. Le maire de Gellainville se plaignait d'avoir 14 000 véhicules jour ; nous lui avons annoncé la double peine des rémois avec les deux nationales et 36 000 véhicules/jour.

Nous avons terminé en déclarant que pendant que l'on discutait et que l'on décidait de refaire telle ou telle étude, des gens mourraient (un couple récemment décédé à l'entrée de Saint-Rémy) et qu'il fallait faire très vite ! La préfète a répondu que dès octobre, nous serons entendus et le dossier sera transmis à Paris.

À la fin de la réunion, nous avons de nouveau invité la préfète à venir nous rendre visite, ce qu'elle fera car elle a été invitée aussi par le maire. Nous lui avons expliqué que seule une constatation sur place pouvait donner la mesure de ce que nous vivons.

À suivre ...
 

AVIS DE LA COMMISSION D'ENQUETE PUBLIQUE

  Madame, Monsieur,
La commission d’enquête publique a rendu vendredi 3 mars son avis sur le projet de mise en concession de la RN154/RN12.
Cet avis est positif, même s'il est assorti de 2 réserves dont l'une nous concerne directement. En effet, à la demande des élus de l'Eure, des accès devraient être possibles au carrefour des Anglais, risquant d'augmenter le trafic résiduel.
Bien sûr, cet avis n'est que consultatif mais il est important de constater que l'analyse objective des causes et des conséquences de ce projet a conduit les commissaires enquêteurs à décider de l'utilité du projet et du contournement de notre vallée. Ces personnes, dont les compétences et le recul sont indiscutables, ont étudiés toutes les remarques, suggestions et précisions recueillies sur les différents supports (papier, informatique et rencontres directes avec le public). Elles ont ensuite pesé les avantages et inconvénients pour conclure leur analyse par une nécessaire mise en concession.
Nous ne pouvons que nous réjouir de cette décision qui répond à nos demandes de déviation de notre vallée, que nous réclamons depuis des décennies et plus particulièrement depuis l'ouverture du débat public en 2009. Il aura fallu 7 ans pour arriver à ce point, 7 ans pendant lesquels le trafic a régulièrement progressé, entrainant une augmentation de la pollution et des nuisances sonores.
Mais le dossier n'est pas clos ; il faut maintenant que le Conseil d’État prenne un décret de déclaration d'utilité publique afin de lancer l'appel d'offre de la concession. Les échéances électorales de ce printemps ne seront guère favorables à une telle décision et nous devrons sans doute attendre l'automne 2017 pour voir enfin nos espoirs se réaliser.
Il restera à obtenir des services de l’État et du concessionnaire les garanties de qualité, de la nécessaire adaptation des tarifs aux Euréliens et surtout du respect des délais.
Mais tous ces combats, toutes ces réunions ne seront alors plus qu'un souvenir et nous pourrons apporter une meilleure qualité de vie à nos enfants.
Vous trouverez ici les différents documents à télécharger sur le site de la préfecture.
 

ENQUETE TERMINEE

  Et maintenant ?
Les commissaires enquêteurs sont en train de préparer leur rapport qui contient la synthèse des avis déposés et l'avis motivé de la commission d’enquête. Ce rapport sera transmis sous quelques semaines et la déclaration d'utilité publique interviendra dans les 18 mois. C'est le délai maximum accordé au conseil d'état pour publier un décret. Dans les faits, ce délai est souvent plus court, mais la proximité d'échéances électorales majeures au printemps 2017 repoussera sans doute la décision à l'automne. Nous sommes hélas habitués à ces retards, notre combat ayant traversé de nombreux scrutins de toutes natures.
Cet avis n'est toutefois qu'un avis, la décision finale revient à l’État.
Si cet avis est public, nous le mettrons à disposition sur le site dès que possible et vous recevrez une newsletter vous en informant.
Nous avons fait ce que nous pensions nécessaire et juste durant toutes ces années, la suite ne nous appartient plus. Soit nous pourrons espérer un avenir plus calme, soit nous serons condamnés à respirer un air de plus en plus pollués, cette pollution dont nous venons d'avoir un aperçu ces derniers temps.
Mais il n'y aura pas de "plan B", ce sera une autoroute ou rien, car l’État n'aura plus jamais les moyens de réaliser ces travaux sur ses fonds propres. Le projet alternatif n'était qu'un leurre destiné à contrer le projet retenu. Gageons que ses initiateurs arrêteront leur croisade sitôt le projet enterré. Nous avons combattu car ce leurre semait le doute mais n'a jamais apporté de solution pour Saint Rémy si pour Nonancourt.
 

ENQUETE PUBLIQUE

 

On y est ! L'enquête d'utilité publique a commencé le 15 Novembre dernier et se poursuivra jusqu'au 10 Janvier 2017.
La nature humaine fait que les opposants à une idée ou un projet sont toujours plus motivés que les partisans. Ils sont donc nombreux à écrire, sur les registres ou sur le site internet de l'enquête publique (registre-numerique.fr), que le projet alternatif appelé MOB28 est la solution.
Ce projet est inclus dans l'étude d'impact, pages 109 à 111, et la conclusion sans appel est :

      • évaluation du coût à environ 320 millions d'euros. Ce seul point pose déjà problème : comment imaginer que l'Etat, qui limite sa participation à 30 M€, accepterait d'y consacrer 10 fois plus ?
      • son caractère hétérogène (2 voies, 3 voies, 2x2 voies) peut induire des comportements inadaptés liés aux nombreux changement de vitesse notamment,
      • il ne solutionne pas les futurs engorgements (rond-point des Anglais, section Nonancourt/St Rémy, contournement de Dreux, rocade de Chartres déjà congestionnés).
      Mais une enquête publique est constituée de tous les avis et nous avons le devoir, pour nous et nos enfants, de manifester notre accord sur ce projet qui, s'il ne correspond pas totalement à nos attentes d'origine (gratuité notamment), reste la seule solution qui permette de dévier notre vallée dans des délais raisonnables.

      Aussi, nous vous invitons à déposer votre avis motivé (il est utile en effet de préciser pourquoi nous sommes pour en argumentant par exemple sur la sécurité, les bouchons, la pollution, le bruit, etc.) avant le 10 Janvier prochain.


      Après, il sera trop tard !


      N'écoutez pas les "avis autorisés" qui vous disent soit que les jeux sont faits, soit que le projet est abandonné. Rien n'est joué à cette date, la mobilisation de chacun est nécessaire pour enfin voir aboutir cette déviation qui rendra à notre vallée son caractère d'origine.


EXPRIMEZ-VOUS MAINTENANT !

      Soit en vous déplaçant dans les mairies, soit en écrivant au commissaire enquêteur à l'adresse des mairies, soit sur le site dédié indiqué plus haut, ou enfin en vous rendant aux permanences dans les mairies aux jours et dates affichées (voir encadré pour les prochaines).

    L'avenir de notre vallée est entre vos mains, il n'y aura pas d'autre occasion avant plusieurs décennies. Nos enfants jugeront de notre action.
 
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